À travers cette vidéo, plongez vous dans l’univers de l’Espace Soin de Soi de la clinique Malartic, à Ollioules ! Mêlant médecine douce et esthétique, cet espace a pour but de vous aider à vous sentir mieux, aussi bien dans votre corps que dans votre tête. 

Vous pourrez découvrir en images un lieu de bien-être conçu pour que vous vous sentiez le plus à l'aise possible. Grâce à l’espace esthétique, vous pouvez effectuer différents soins pour retrouver une seconde jeunesse. L’espace médecine douce vous apportera quant à lui plusieurs bienfaits à la fois physique et mental, le tout, toujours dans une optique de prendre soin de vous.

Vous pouvez prendre rendez-vous dès maintenant à l’espace médecine esthétique au 04 83 77 06 31, ou à l’espace médecine douce au 04 83 77 06 31. 

L'Espace soin de soi à la clinique Malartic - avec.fr

Besoin de détente ? Découvrez en vidéo l’Espace Soin de Soi de la clinique Malartic !

Avec plus de 1000 décès par an en France, le cancer du col de l’utérus est le seul cancer dont le pronostic se dégrade. Son dépistage reposait jusqu’à présent sur la réalisation tous les trois ans à partir de 25 ans d’un frottis du col réalisable au cabinet d’un gynécologue. 

Avec plus de 1000 décès par an en France, le cancer du col de l’utérus est le seul cancer dont le pronostic se dégrade. Son dépistage reposait jusqu’à présent sur la réalisation tous les trois ans à partir de 25 ans d’un frottis du col réalisable au cabinet d’un gynécologue. Or ce type de dépistage dont la sensibilité diagnostique est imparfaite n’est suivi que par 40% des femmes.  Les freins au dépistage par frottis sont nombreux, liés en partie aux “déserts médicaux” mais sont aussi économiques et culturels. Le refus de l’examen gynécologique est le motif le plus fréquent de non-participation.

Depuis mai 2022, la Haute Autorité de Santé (HAS) recommande de remplacer le classique frottis par la réalisation d’un prélèvement vaginal recherchant la présence du papillomavirus dans le vagin, pour les femmes de 30 à 65 ans. Le docteur Jacques PETER, Gynécologue au sein du Groupe AVEC, précise que “Ce prélèvement peut être effectué par un professionnel de santé ou encore par la femme elle-même par auto-prélèvement”. Le tube de prélèvement est inclus dans un kit spécial qui est ensuite envoyé par voie postale (enveloppe T non oblitérée) au laboratoire qui fera l’analyse.

Lorsque l'accès aux professionnels de santé est difficile, l'auto-prélèvement du papillomavirus est aujourd’hui une alternative fiable pour réaliser un dépistage du cancer du col de l’utérus entre 30 et 65 ans. Le geste est plus simple et s’est révélé aussi fiable que celui réalisé par un professionnel de santé. 

En pratique, entre 25 et 30 ans le dépistage de ce cancer reste fondé sur la réalisation dès 25 ans de deux frottis avec un an d’intervalle, puis un autre trois ans après si le résultat des deux premiers est normal.

La nouveauté est que la HAS recommande que le test HPV remplace l’examen cytologique en dépistage pour les femmes entre 30 à 65 ans. Ce test s'avère nettement plus efficace pour réduire l'incidence du cancer du col de l'utérus. 

De plus, en cas de test négatif, ce qui concerne 85% des cas, la réalisation d’un nouveau test tous les cinq ans est suffisant et s’avère plus performant qu’un examen cytologique tous les trois ans. 

Si le test est positif (présence de virus), il faut alors réaliser un frottis classique dont le résultat conditionne la surveillance ultérieure qui reste classique. Un frottis anormal nécessite une colposcopie avec souvent une biopsie du col.

Pour le docteur Jacques PETER, “L’auto-prélèvement se montre ainsi particulièrement adapté pour les femmes de plus de 30 ans qui ne se font pas dépister régulièrement ou qui sont éloignées du système de soins et qui utilisent la téléconsultation”.

Pour répondre à l'ensemble de vos questions et vous accompagner, vous pouvez consulter en ligne un gynécologue sur avec.fr. Confortablement installé depuis chez vous, la téléconsultation, c’est aussi simple qu’une consultation en cabinet. À la fin de la téléconsultation, vous aurez la possibilité de retrouver vos documents (compte-rendu, ordonnance, attestation...) quelques minutes plus tard sur votre compte client Avec. 

Dépistage du cancer du col de l’utérus en téléconsultation : c’est possible avec l’auto-prélèvement !

La clinique Bonneveine, établissement du Groupe AVEC situé dans le 8e arrondissement de Marseille, a ouvert le 1er juin dernier le premier hôpital de jour destiné aux patients en soins palliatifs. 

La création de cet hôpital de jour était nécessaire dans une région où les lits des soins palliatifs sont souvent sous dotés. C’est pourquoi, la clinique Bonneveine se démarque à nouveau en proposant des soins centrés sur des patients en soins palliatifs. 

Les soins palliatifs consistent en une approche coordonnée, pour des patients atteints de maladie incurable. Ces soins visent à atténuer les symptômes d’inconfort. Ce sont des soins axés sur l’amélioration de la qualité de vie des patients et de leurs familles ou proches, face aux conséquences d’une maladie potentiellement mortelle.

Les soins palliatifs sont applicables tôt dans le décours de la maladie, en association avec d’autres traitements spécifiques de la maladie sous-jacente et pouvant prolonger la vie. Ils incluent les investigations requises afin de mieux comprendre les complications cliniques gênantes pour adapter au mieux leur prise en charge.

La pratique des soins palliatifs se base sur un certain nombre d’objectifs prioritaires :

Favoriser la continuité des soins et anticiper les situations de crise.

Discuter la proportionnalité des traitements en l’articulant avec les repères du patient.

Proposer un système de soutien pour aider les patients à vivre aussi activement que possible jusqu’à la mort, améliorer la qualité de vie et influencer peut-être aussi de manière positive sur l’évolution de la maladie.

Offrir un soutien et un accompagnement aux proches pendant la maladie du patient et lors du décès et du deuil.

Garantir aux patients le respect des droits de fin de vie.

L'hôpital de jour permet une prise en charge coordonnée entre le patient, sa famille et les professionnels médicaux et paramédicaux, lorsque les thérapeutiques actives laissent place aux soins de confort.

Cette nouvelle prise en charge permet d’éviter une hospitalisation complète de plusieurs jours, des déplacements potentiellement douloureux vers les centres de soins référents, parfois éloignés géographiquement et de respecter le rythme de vie et les habitudes des patients.

Le service de soins palliatifs en hôpital de jour possède une approche qui se veut la plus humaine et respectueuse possible basée sur des concepts fondamentaux : l’éthique du soin et la prise en compte des douleurs physiques et/ou morales.

Les personnes qui peuvent être concernées par cette démarche palliative sont : 

Les patients ayant une maladie évolutive et incurable : oncologie, pathologies neurodégénératives, insuffisance d’organes….

Les familles des patients en situation palliative.

Les médecins traitants, infirmiers libéraux confrontés à la fin de vie au domicile.

L’équipe du service des soins palliatifs en hôpital de jour est coordonnée par le Dr Nadjet SAADALLAH BOUCHEMOT, Médecin spécialisé en soins palliatifs et en douleur. 

Son équipe est composée de nombreux professionnels de santé : pharmacien,  psychologue, kinésithérapeute, psychomotricien, psychologue, diététicien, socio esthéticienne, orthophoniste, assistante sociale et l’ensemble des spécialistes médicaux en rapport avec l’affection principale ou secondaire.

Les professionnels de soins du domicile peuvent solliciter le service des soins palliatifs en hôpital de jour à tout moment de prise en charge palliative. Plus celle-ci est précoce, plus l’anticipation des situations de crises sera facilitée.

Dr Nadjet SAADALLAH BOUCHEMOT, Médecin spécialisé en soins palliatifs et en douleur, par mail : nadjet.bouchemot@avec.fr

Nathalie DURANTI COCONI, Directrice des Soins, par téléphone au 06.89.73.72.08 ou par mail : nathalie.duranti@avec.fr

Secrétariat dédié par mail : clinique.bonneveine.hopitaldejour@avec.fr ou par téléphone au 04.96.14.14.05

Ouverture du premier hôpital de jour soins palliatifs à la clinique Bonneveine

La clinique Chartreuse, établissement du Groupe AVEC, a organisé une soirée cocktail jeudi 23 juin 2022. L’objectif de cet événement était de rassembler les médecins exerçant au sein de la clinique Chartreuse, certains chirurgiens du GHM de Grenoble et les médecins généralistes du pays voironnais. Une occasion de dynamiser les échanges entre médecine de ville et établissements sanitaires. Cette soirée était également l'occasion de célébrer le départ en retraite du Docteur Christian Voilin, chirurgien viscéral et digestif. Au total, ce sont plus d’une 40aine de praticiens qui ont participé à cette rencontre, dans une ambiance conviviale.

Rencontre des praticiens de la clinique et des médecins généralistes de l’agglomération

La soirée a débuté par un discours du Dr. Nicolas Drouet, président de CME (Commission Médicale d'Établissement), qui a rappelé les spécialités exercées au sein de la clinique. Puis, il a laissé la parole au Dr. Nicolas Albin (Président de CME du GHM de Grenoble), qui a insisté sur l’importance d’une collaboration entre les deux établissements de santé (clinique Chartreuse et GHM de Grenoble). Enfin, le Dr. Voilin (chirurgien viscéral et digestif à la clinique Chartreuse) a pris la parole pour revenir sur sa carrière, célébrant ainsi son départ en retraite, après 35 ans d’exercice à la clinique. Enfin, les convives ont été invités à se retrouver autour d’un buffet pour discuter de manière conviviale.

Cette soirée a été l’occasion de faire rencontrer les praticiens de la clinique et les médecins généralistes de l’agglomération, afin de développer des liens entre l’établissement de santé et les cabinets de ville. Il est essentiel pour l'avenir de la santé de la population du territoire que les praticiens se rencontrent, au-delà des seuls échanges autour d’un patient. C’est d’ailleurs une des raisons d’être de la toute nouvelle communauté professionnelle territoriale de santé du Voironnais, à laquelle la clinique Chartreuse est partie prenante depuis les débuts du projet.

C’est pourquoi, la clinique souhaite renouveler cet événement au moins une fois par an, au vu du succès de cette première édition.

Une clinique en étroite collaboration avec le Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble

La clinique Chartreuse a été ouverte il y a 54 ans, en 1968. En 2019, la clinique est devenue une filiale du Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble, dont la gouvernance a été reprise par le Groupe AVEC en 2020. Depuis, les deux établissements travaillent conjointement à la construction d’un projet médico-soignant cohérent sur l’ensemble du territoire.

La clinique Chartreuse est aujourd’hui dirigée par Pascale Wouters (à gauche sur la photo), directrice d’établissement et Dr. Nicolas Drouet (à droite sur la photo). Près de 50 praticiens exercent dans l’établissement et réalisent environ 15 000 actes par an. Cela représente environ les deux tiers de l’activité chirurgicale réalisée dans le voironnais. Les interventions sont pour 90 % d’entre elles réalisées en ambulatoire (hospitalisation inférieure à une journée). Le service des consultations non programmées a également rouvert ses portes depuis plusieurs mois et permet à la population du voironnais de bénéficier d’une prise en charge de la traumatologie du quotidien (plaies, entorses…) et les pathologies digestives (appendicite).

La collaboration entre les deux cliniques participe au développement d'un parcours de soins complet et adapté à la prise en charge des patients. Cette démarche visant le maintien de la qualité et de l'accès aux soins est menée conjointement avec les équipes des deux établissements.  